De la servitude Moderne, making off
On voit le monde chacun dans sa coquille, certains font de cette coquille, une carapace épaisse. Ce qui peut les empêcher de voir ce que d'autres perçoivent naturellement.
On nous élève pour nous prédestiner à une vie commune dans le protocole de la normalité. Ce sont les limites censées fixer les territoires de chacun.
Ce qui peut convenir à ceux qui font le choix de cette voie et n'ont jamais connu d'éveil métaphysique. Mais chacun est différent, même si les ressemblances rassemblent, les différences séparent ;
Des êtres hors du commun, autrement dit de la normalité admise. Des être disposant de limites qui outre passent celles de la majorité. Des êtres vertueux qui veulent comprendre le monde et pas seulement l'accepter comme un processus logique.
Au delà de cela, il y a des libres penseurs. Ceux qui tolèrent et agissent en toute objectivité. Voir le monde autrement ;
C'est ce qu'un documentaire a tenté de faire. De révéler aux yeux populaires, une fâcheuse réalité.
Film de 52 minutes composé en 20 chapitres, se présente comme une arène à vérités remplies d'images issues de partout et de citations précisément choisies (Karl Marx pour le travail par exemple)
Réalisé par Jean François Brient de 2007 à 2009, sa diffusion est sollicitée et gratuite.
- INDEX -
Chapitre I : Épigraphe |
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Chapitre II : La servitude moderne |
"Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles." |
Chapitre III : L’aménagement du territoire et l’habitat |
« L’urbanisme est cette prise de possession de l’environnement naturel et humain par le capitalisme qui, se développant logiquement en domination absolue, peut et doit maintenant refaire la totalité de l’espace comme son propre décor. »
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Chapitre IV : La marchandise |
« Une marchandise paraît au premier coup d'œil quelque chose de trivial et qui se comprend de soi-même. Notre analyse a montré au contraire que c'est une chose très complexe, pleine de subtilité métaphysique et d'arguties théologiques. »
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Chapitre V : L’alimentation |
« Ce qui est une nourriture pour l’un est un poison pour l’autre. » |
Chapitre VI : La destruction de l’environnement |
« C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l’écoute pas. » |
Chapitre VII : Le travail |
Travail, du latin Tri Palium trois pieux, instrument de torture. |
Chapitre VIII : La colonisation de tous les secteurs de la vie |
« C’est l’homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l’organisation du travail, et hors de l’usine il garde la même peau et la même tête. » |
Chapitre IX : La médecine marchande |
« La médecine fait mourir plus longtemps. » |
Chapitre X : L’obéissance comme seconde nature |
« À force d’obéir, on obtient des réflexes de soumission. » |
Chapitre XI : La répression et la surveillance |
« Sous un gouvernement qui emprisonne injustement, la place de l’homme juste est aussi en prison. » |
Chapitre XII : L’argent |
« Et ce que l’on faisait autrefois pour l’amour de Dieu, on le fait maintenant pour l’amour de l’argent, c’est-à-dire pour l’amour de ce qui donne maintenant le sentiment de puissance le plus élevé et la bonne conscience.» |
Chapitre XIII : Pas d’alternative à l’organisation sociale dominante | Acta est fabula La pièce est jouée |
Chapitre XIV : L’image |
« Sinon, qu’il te soit fait connaitre, o roi, que tes dieux ne sont pas ceux que nous servons, et l’image d’or que tu as dressé, nous ne l’adorerons pas. » |
Chapitre XV : Les divertissements |
« La télévision ne rend idiots que ceux |
Chapitre XVI : Le langage |
« On croit que l'on maîtrise les mots, mais ce sont les mots qui nous maîtrisent. » |
Chapitre XVII : L’illusion du vote et de la démocratie parlementaire |
« Voter, c’est abdiquer. » |
Chapitre XVIII : Le système totalitaire marchand |
« La nature n’a créé ni maîtres ni esclaves, |
Chapitre XIX : Perspectives | |
Chapitre XX : Épilogue |
« O Gentilshommes, la vie est courte… Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des rois. » |
Dévoiler le contenu permet de prévenir certaines personnes, non prêtes à accepter ces vérités ou à n'y voir qu'une oeuvre déprimante, leur est fortement déconseillé.
Ce documentaire est donc idéal pour une clairvoyance d'esprit de libres penseurs et même recommandé.
Bon visionnage, à buzzer sans modération.